Sont en lice les équipes suivantes :
- Les Quadstrators - Grenoble
- Les Menneles – Strasbourg
- La Banane Squad (Panam Squad B) - Paris
- Les Damnés - Chapet
- La Raclée - Dijon
- Les Barbiers de Sévices - Lille
Il est 9H, le premier warm up commence, sous le ciel bas et lourd de Grenoble. Dans les nuages, comme dans les coeurs de nos hommes, l’orage gronde…
J’aime ces petits moments de calme avant la tempête.
Un premier jam explosif, avec 31 points à zéro pour les Quadstrators, qui ont choisi de confier le jam à Trivomi. En face, la Banane Squad part à neuf joueurs… Le match s’annonce difficile. Au deuxième jam, Gentle’Stan prend le lead, puis c’est un powerjam pour les Quadstrators, qui démarrent décidément en trombe. Au sortir de prison, D’Block réplique avec un sacré impact ! La Panam B ne se laisse pas abattre, et envoie Colvert au jam, qui sautille sur la ligne de départ, prêt à en découdre. L’agilité remarquable du capitaine de Grenoble, le Rat Botté, lui permet d’être partout à la fois sur le track, se plaçant régulièrement devant le pack, en ultime rempart. Le jammer 19 de Panam récolte quatre précieux points en jouant de sa rapidité et en coupant pile au bon moment ! En face, Bad Pit jette le jammer adverse dans son propre mur… Mais la tension n’affecte pas l’ambiance du match, puisque Trivomi et Colvert se checkent au départ de jam ! C’est un match intense : les assists de Fl’Ogre sont redoutables, tout comme la lecture de jeu de Gentle’Stan, qui se fait sortir mais rentre devant le joueur hors jeu car à terre, et l’équipe de Paris joue la cohésion et la communication, défendant à quatre avec efficacité. On entend Colvert qui crie « Attendez !
Attendez ! » car il n’est pas encore aligné : difficile à neuf joueurs de gérer les lignes… Mais il est dans les temps ! Il se retrouve ainsi face à Fl’Ogre au jam, qui sort du pack en marche arrière, prend le lead mais est rattrapé par Colvert : se sachant trop au coude à coude pour garder son avantage, le jammer de Grenoble papote avec ce dernier, tous deux se prennent la main, et offrent au public une petite balade entre copains jusqu’au pack, puis Fl’Ogre coupe. Qu’ils sont mignons ! Half time : les Quadstrators bénéficient d’une belle avance, avec un score de 157 à 28.
Le match reprend, avec une intensité sans pareille : les Bananes sont bien décidées à ne pas laisser l’écart se creuser ! D’Block sort le jammer adverse et le fait reculer loin derrière (c’est un ancien joueur de Strasbourg, m’a-t-on dit dans l’oreillette). Toad'Souilleur réplique par une jolie sortie en extérieur du jammer – on note au passage son casque récemment customisé par un tatoueur grenoblois, aux couleurs des Quads. D’Block, qui alterne entre jam et block avec une endurance impressionnante, fait montre d’une puissance qui lui permet de compresser le triangle adverse.
Belle assist de Wing’n’Fire sur Fl’Ogre ; il y a des joueurs qu’il faut neutraliser, et il l’a bien compris : il donne ainsi le lead à son jammer ! Chaos et Kiki, placés en butt et conduits par Alain Chabite, absorbent bien l’impact, mais Bad Pit crée la faille et prend le lead ! Quels derby names, au passage ! Les Quads se retrouvent en infériorité numérique, puisqu’ils défendent à deux, mais Toad et le Rat Botté tiennent le jammer, malgré l’assist ! Jolie action de Colvert qui, au départ de jam et portant l’étoile, pose sa main sur la hanche de son co-équipier pour lui signaler où il se trouve, puis utilise le maillot de ce dernier pour se whiper !
Les parisiens s’inclinent avec dignité face à Grenoble, avec un score final de 318 à 66 !
C’est parti pour ce deuxième match de roller derby de la journée : on admire déjà les maillots des Damnés, basés sur un trompe-l’oeil astucieux ! Le premier jam est blanc, et le deuxième donne l’avantage à Lille, avec un score de 15 à 2, mais rien n’est joué. On note les recyclages efficaces de Derby Nem, mais son mur peine à rester uni… On relève, en face, le maquillage de Tracknarök, et les jolis passages de Pika !
Thor Tank fait preuve d’une agilité remarquable, passant parfois sans contact, et se relevant extrêmement vite s’il vient à tomber… Mention spéciale pour les patins dorés de Lazybones de Lille qui, en outre, ne démérite pas dans son jeu, puisqu’il communique de façon à assurer la cohésion de son mur et la fluidité du jeu. Chez les jammers, on rivalise d’agilité : Thor Tank nous offre un saut d’apex en 180°, et Rhum Barrique joue du spin pour prendre le lead… Dans le public, le miroir de Chapet met le feu au track, multipliant les slogans : « Damnés, damnés, on va tout donner ! » Brady Cardy s’échappe après avoir été chevré, au moment opportun, pour pouvoir défendre à quatre ! Mais Thor Tank est d’une efficacité remarquable, marquant jusqu’à 40 points par jam… Les Damnés manquent parfois de structure, peinant à se reformer alors qu’ils auraient pu tenir plus efficacement le jammer, ensemble… Mais, à leur décharge, les assists de Lille n’aident pas ! Half Time : le score s’élève à 245 contre 14, en faveur de Lille.
Le match reprend ! Charrin de Lille, seul derrière, tient le jammer, et le sort avec l’épaule. Rhum Barrique tente le tout pour le tout, callant en se jetant au sol, et récolte deux précieux points ! On relève au passage de chouettes derby names : entre Ricky la Trick des Damnés et Apex Citron de Lille, voilà le public servi ! John Doe, lui, arbore des protège-tibias miroir, la classe ! Bon timing pour l’assist du 99 lillois, mais elle n’aboutit pas, grâce au recyclage de Derby Nem, qui recule en sautant pour éviter un adversaire lui barrant le chemin. Le Damné 14 recycle le jammer 06 avec le sourire : il peut être content d’avoir sorti Thor Tank, qui multiplie les jams à 35 ou 40 points ! Lille engrange les points, mais Chapet force l’admiration : leur ténacité leur permet de tenir le jammer à deux, et leur miroir remonte le moral des troupes, qui garde un mental au beau fixe, au point de chanter ! Cela dit, la fatigue se ressent : le jammer Damné 004 doit aller en prison car il hite trop tôt, mais échange un sourire complice avec son adversaire ! On a en outre un foulout du côté de Chapet. Chewbakwad part au jam, et nous offre un beau saut d’apex !
Score final : 506 à 25 pour Lille, malgré le lead final de leurs adversaires. Les Damnés se seront accrochés jusqu’au bout, dans la joie et la bonne humeur !
Les Menneles, ou « petites brioches », entrent en lice. Les sauts de Twopi poussent Trivomi au star pass. Fl’Ogre jamme, sort Twopi, tente le eat the baby, mais malgré une lutte acharnée dans le pack, son mur ne parvient pas à passer devant à temps. Sur le deuxième jam, c’est un lead de Gentle’Stan, pendant que les Quadstrators tiennent bien l’adversaire. On assiste, de chaque côté, à un beau travail de défense, puisque le lead arrive parfois au bout d’une minute vingt ! Les défenses sont solides, et les pivots audibles. Le 15 des Menneles fait preuve d’un bel impact, mais Bad Pit prend le lead en courant sur tampons en extérieur. Le score est plutôt serré, de 20 à 31 ; il reste un peu moins de 20 minutes sur cette période. Un petit câlin de Stan et TwoPi au départ de jam, et c’est reparti. Joli passage d’Albâtard, qui traverse le pack en tournant sur lui-même, sur un seul pied ! MousqueBière sait saisir l’opportunité, en ce qui concerne les assists, et les Quadstrators ne pensent pas toujours à sortir ceux qui recyclent leur propre jammer. Idem pour le numéro 20, qui sert parfois de bélier à son jammer ; on note au passage son maquillage à la Braveheart, chapeau ! Half Time :le score est de 125 à 35, les Strasbourgeois mènent la danse.
Seconde période : joli apex de RouxCarnage, tandis que la Fée Patafine, au micro, déclare : « Je peux entendre Trivomi souffler jusqu’ici ! » Track Thor est redoutable d’efficacité et de rapidité, obligeant le jammer à reculer. Belle sortie en extérieur de Fisher, et timing opportun de l’assist de Pap’Ouille, qui confère le lead à Gentle’Stan, ce dernier enchainant sur un saut d’apex ! En face, de très beaux blocks de Double Détente, et un joli petit coeur sur la cuisse de Perceval… Lors du powerjam de Gentle’Stan, superbe assist des Quads, ensemble ! Quant au Rat Botté, il est partout… Au point de finir foulout au dernier jam : beaucoup de risques pris, c’est normal. RouxCarnage, très à l’aise, prend le lead, fait son lacet en plein jeu, sur une jambe, puis récolte quatre points ! Qui a dit que les hommes ne savaient pas faire deux choses à la fois ? Le mur de Strasbourg contient notre Ogre, qui porte pourtant bien son nom !
Au final, Strasbourg l’emporte de 279 à 86. Une belle victoire, mais les Quadstrators n’ont rien lâché !
La pluie résonne dans le gymnase… Et pour cause : elle goutte jusque sur le track ! Pour tromper l’attente, patins et petons chaussés jouent ensemble à 1, 2, 3, Soleil !
Les officiels prennent la décision de ne pas faire ce match, car on ne trouve pas de solution satisfaisante, au niveau de la sécurité. Cela dit, on reporte le match au lendemain : Dijon et Lille joueront à 11h45, ce qui reporte la rencontre Lille – Paris au prochain plateau de championnat. Ce choix se base sur la proximité des adversaires et, on l’imagine, sur le nombre de matches joués sur chaque plateau par les équipes respectives.
Un début de match serré, les jams sont souvent blancs, mais Strasbourg prend de l’avance. Les Damnés prennent parfois le lead, mais callent souvent trop tard, malheureusement… Jolis sauts d’Albâtard, qui joue l’esquive tantôt en inté, tantôt en exté. Mais Twopi laisse tomber son couvre casque, ce qui suscite un curieux cafouillage… Les Damnés tentent une official review, mais elle leur est refusée, leur jammer reste en penalty box… Half Time : le score est de 168 à 24 pour Strasbourg.
Le jeu reprend, les sauts d’apex d’Albâtard aussi ! Il y a beaucoup de pénalités… En box, on dénombre souvent deux à trois joueurs de la même équipe à la fois… Du côté de Strasbourg, on récolte un delay of game, car le jammer n’était pas aligné à temps. L’erreur est vite réparée car, malgré un seul bloqueur de son équipe sur le track, le jammer des Menneles prend le lead ! Jolies acrobaties, au passage, de Twopi et Roro Sifredi…
Score final : 360 à 60, victoire de Strasbourg. Un compte rond !
Etait initialement prévue la rencontre de La Banane Squad et Des Barbiers de Sévices : ce match est reporté au prochain plateau de championnat. Place à l’affrontement : Lille joue bel et bien, mais face à La Raclée de Dijon !
C’est le premier match de Dijon, sur ce championnat 2018 – 2019. Ce match offre déjà un beau travail de défense des deux côtés, et des ponts avant bien orchestrés chez Dijon. Il reste seize minutes, le score est de 78 à 10 pour Lille, et c’est un powerjam de Thor Tank… Mais c’était sans compter la belle défense de Dijon, car le jammer n’engrange « que » 20 points : il en a régulièrement marqué 35 à 40 par jam, la veille, sans powerjam… Rappelons que Thor Tank est dans l’équipe de France, et participera à la coupe du monde de roller derby masculin, à Barcelone, les 7 et 8 avril. Encore un powerjam pour Lille, avec Reyrey du Huc ! Les bloqueurs prennent la ligne de pivot, le pack accélère… Star pass judicieux du côté de Dijon, qui permet à son pivot devenu jammer de sortir du pack et de contraindre l’adversaire à caller. Joli geste de Tracknarök, qui, à l’arrière du pack, après avoir recyclé le jammer, lui ouvre grand les bras, comme pour le défier – ou lui faire un câlin. Chez Dijon, on note l’impact impressionnant d’Evil Louis, et les blocages du 279, qui sort à deux reprises Thor Tank ! Half time : 169 à 19 en faveur de Lille.
Coba, de Dijon a des patins en scotch, et joue sans stopper ! On me dit que c’est volontaire, oui oui… Le public est abasourdi ! On admire également Robert Wolf, qui réalise un beau jeu de jambes, et utilise ses tampons de façon quasiment magique ! Cette agilité sur patins lui permet une jolie entrée dans le triangle adverse, en jammer comme en assist. Quelques derby names mémorables retiennent notre attention : Fatal Ragondin, chez Dijon, et Dante Hell, le miroir de Lille. On relève également la « poésie » du nom Reyrey du Huc, mais on le lui pardonne, vu la référence littéraire du nom de son équipe. Deux lillois en défense seulement : Thor Tank se met en block avec eux, mais Ghost Rider parvient tout de même à prendre le lead ! Belles contre assists des
Barbiers, qui n’hésitent pas, en outre, à whiper leur jammer, comme le fait Tracknarök avec Chewbakwad. Dernier jam : c’est Apex Citron de Lille qui s’y colle ! La foule en délire réclame un apex - et parfois, un citron - mais Dijon coupe avant !
Score final : 373 à 37, Lille l’emporte avec un jeu fluide et une belle cohésion.
Le premier jam vire très vite au powerjam, en faveur des Damnés. Mais les premiers points du côté des Quads arrivent bien vite, et ces derniers prennent de l’avance : il reste 18 minutes, et le score est de 64 à 5. Sympathique concours de bide (lisez bien…) sur la ligne de jam ; Roro Sifredi caresse affectueusement la panse de Trivomi, ce qui lui porte vraisemblablement chance : il prend le lead ! Surnommé la Ballerine par certaines co-équipières, Gentle’Stan parvient à son tour à prendre le lead après un eat the baby d’AXLR. Il saute, il vole, il danse, son patinage est d’une élégance dont le public profite allègrement ! Cela dit, on compte deux départs consécutifs à deux bloqueurs, pour les Quads : Gentle’Stan aide sa défense en entrant dans le triangle, ce qui déconcerte les Damnés ; il ne s’arrête pas là, et en profite pour manger le bébé ! Belle assist en pince de Fl’Ogre, et Trivomi sait prendre la faille ! Half time : 147 à 22, les Quadstrators ont pris de l’avance !
Belle assist collective du mur des Damnés, qui permet le passage initial de son jammer et pousse l’adversaire à caller. On note les sacrés coups d’épaule d’Accroc’Bat, mais Pap’Ouille réplique par un coup de fesse bien placé qui envoie valser l’adversaire ! Au milieu de ce pack de brutes, la douceur élégante de Kryptoratt vous offre une pause scotch bien méritée. Puisqu’on est dans l’interlude, passons à l’entracte comique : Trivomi part au jam mais oublie son couvre casque ! Un petit coup de pression du côté des Quadstrators, mais belle assist du numéro 3 qui donne le lead à son jammer ! Accroc’Bat le talonne, et effectue un joli passage sur tampons en exté. Exténué (sans jeu de mots) après un jam interminable, il reçoit un câlin de son coéquipier Derby Nem… Un bel exemple de cohésion ! Quant à Fl’Ogre, il devrait peut-être songer à se mettre au ventriglisse, vu la belle glissade ventrale qu’il offre au public ! Bel écran de Jay Ladalle, après le lead adverse, qui facilite le passage de son jammer. Plus que deux Quadstrators sur la piste, du côté des bloqueurs… Et un jeu époustouflant ! Tandis que le numéro 13 part en assist, Maroille Volta tient seul le jammer adverse !
C’est l’anniversaire de Pap’Ouille et Beer Bear : ils partiront avec l’étoile sur les deux derniers jams ! Beer Bear réussit son star pass, et Pap’Ouille nous offre un superbe lead sur tampons, tandis que Toad se retrouve seul au monde face à ses adversaires, mais parvient à faire accélérer le pack pour gagner du temps. Pap’Ouille tente un apex qui l’envoie en prison, mais il en ressort avec une hargne lui permettant de marquer les derniers points de ce match !
Score final : 325 à 57, une jolie victoire pour les Quadstrators, qui l’emportent avec le sourire !
Belle ambiance sur le track des deux côtés !
Très vite, la Raclée engrange des points : 20 points contre un seul pour Paris au premier jam, mais la Banane ne lâche rien : à cinq minutes, le score est de 24 à 5 ! On note encore une fois des câlins entre adversaires, en l’occurrence Kiki et Woody Wood Tracker, ce qui témoigne de la bonne humeur régnant sur ce plateau, jusqu’au dernier match ! Du côté de Panam, on admire les blocages bourrins de Kiki, et la belle défense à deux, mais Ghost Rider prend la faille. Harry, ex-membre des Quadstrators, reprend du service et speake le match : il craignait d’avoir perdu la main, mais qu’il se rassure, il n’en est rien ! Il met le feu dans le public, prenant dignement le relais de notre fée speakerine, qui avait couvert quasiment tous les autres matches ! C’est un powerjam pour les Bananes, alors qu’il reste douze minutes : une belle assist permet le passage du 19 en aigle, joli ! Rappelons que les parisiens ne sont alors plus que huit, n’ayant pas le précieux D’Block avec eux cette fois-ci, et se retrouvent sans coach ni line up… Mais c’était sans compter sur Twopi, qui vient leur prêter main forte au pied levé, coachant l’équipe face à Dijon ! Du côté de la Raclée, les assists de Bast’Hard sont tout en puissance, et Patator empêche le star pass. Wing’n’Fire appelle un rafistolage avec un « Track Monkey ! » auquel il ajoute, un peu tard, mais avec le sourire « S’il vous plaît ». Sham’Pain répare la zone sinistrée, puis s’éloigne bien vite, faisant signe en riant qu’il n’est pas bien agréable de rester trop près de ces messieurs transpirants… C’est de bonne guerre !
Pendant les Official Review, ça papote entre les deux équipes, on joue avec plaisir des deux côtés ! Half time : 193 à 44 pour Dijon.
Robert Wolf est redoutable en bloqueur : il sort Weegee alors que ce dernier avait déjà passé trois de ses adversaires… Les joueurs accélèrent, mais on peut compter sur Alain Chabite, qui veille au grain et maintient le pack ! Cette seconde période nous rappelle qu’il s’agit du dernier match de ce premier plateau de championnat, les joueurs sont fatigués, mais donnent tout : c’est un foulout pour Colvert, alors qu’il reste 15 minutes, ce qui pénalise les Bananes, déjà peu nombreux… Patator se blesse au niveau de la main, et Colvert a le réflexe tout à fait louable de se mettre devant lui avec les Referees par souci de sécurité et de respect… Un geste tout à son honneur ! C’est le dernier jam : Weegee talonne Evil Louis, mais Mr T. et Wings’n’Fire se retrouvent eux aussi foulout… La Panam B ne compte plus que cinq joueurs…Qui s’alignent malgré tout, avec l’espoir d’une ultime confrontation, mais il ne reste plus assez de temps. Quelle ténacité !
La Banane cède honorablement la victoire à Dijon, avec un score de 362 à 92. Bravo aux deux équipes !
Satan’s Pony #76
Les Chambér’Hyènes / Les Amazones d’Aix-en-Provence